Un réveille comme les autres.

Un champ d'oiseaux...
Des ailes blanches...
Une minuscules cage au barreaux sombre...
Sa patte bouge.
Des ailes qui ce froisse contre le métal froid...
Des yeux infiniment triste...
Ses babines noir ce retrousse dévoilant des dents parfaitement blanches.
Un bruissent d'aile...
L'inconnus et l’attrayant dehors...

Dans un sur-seaux imprévisible et soudain, elle ce réveillât. Ses yeux cherchèrent un instant la clarté de son rêve. Mais ici, seule le noir abyssale lui fut offert. Désespérément ses yeux sombre cherchèrent un point d'accroche, une lumière. Mais elle savait qu'ici seule l'absence de tout était présent. Le noir était si intense qu'il était impossible de ne pas s'en sentir oppressé, écrasé. Elle avait envie de fuir, d'éclater. Elle manquais d'air ici. Il lui fallait s'en aller, elle le savait. Elle ne pouvais finir ici, du moins pas sans ce battre. C'était le but de sa vie. Fuir cet endroit maudit.
Elle sentis son jeune cour s'emballé, animé par le stresse et l'émotion qui la prenait. Ses poumons manquais d'air. Elle devais bouger, ne pas rester en ce lieux détestable, qui sentais la charogne, le malheurs et l'insalubrité. Elle ce levât d'un bon et partis a l'aveuglette dans le noir. Elle connaissait malheureusement cet endroit par coeur. Elle savait que la sortie n'était plus loin. Mais alors quelle croyait enfin pouvoir sortir de ce troue à rat, elle trébuchât sur un corps endormis. Ce réceptionnant mal, elle roulas dans la poussière.

- Merde ! Dit t'elle en grognant et essayant de ce relever.

- MAIS T'PAS BIEN OU QUOI ?!

Nan mais franchement, ou avais-je la tête ? J'ai du me contorsionner durant de longue secondes pour me remettre sur mes quatre pâtes. Sans un geste quelconque vair celui que j'ai... quelque peut bousculé, je me lance dans un ébrouement quelque peut inutile. Je déteste ce sol putride ou trop de chien ou loup son venus y déposer leurs puces.

- Fais gaffe ou tu mets tes pattes, miss. Un peu plus et tu m'tuais. Pourquoi t'es si pressée ?

Je posa alors soudainement mes yeux sur lui. Je l'avais déjà sapé celui là. Il ne pus le voir, mais mon regard n'avait rien de bien sympathique. A sa silhouette effilé et fournis en poils, je dirais qu'il a du sang de Border. Après, ici, on croise toute sorte de croisement, des plus sympa au plus... inattendus.
Je me suis approché de lui sans la moindre crainte. Croyait t'il que son aire de don juan suffirais à m'intimider ? Je roulas des yeux ennuyé, à l’aurore de la frustrassions.

- N’exagère pas ! Je t'es a peine frôlé !

Je fis une sorte de grimasse frustré, un peut piqué par sa remarque. En quoi ça pouvait le regarder ?!

- Quesque ça peut bien te faire ? Hum ?

Oui décidément, c'était pas le moment de venir me chercher des puces.

« Quoi ? Tu m'a fais roulé sur un ou deux mètres ! Frôlé ? Laisse-moi rire cocotte ! Quelle idée de te taper un sprint dans le noir, aussi ? Mais quelle cruche ! »

Cocotte ?! Cruche ?! Oula ! Il va ce détendre de suite l’excité ou je vais me charger de son cas ! Mes oreilles ce plaque sur l'arrière, mon nez ce fronce en une mimique mignonne mais qui, généralement, ne présage rien de bon chez moi. Je sent que ma queue ce redresse sur mon dot pendant que ma colère monte. Je l'observe, ce mini chien pleins de poils. Bon, ok, j’aurais pus m'excuser, mais je déteste le jeux que joue ce chien. Il semble bien maniéré. Il va être déçus avec moi, car je n'est pas pour habitude de faire dans la dentelles.

- Fait gaffe à ce que tu dit clébard ! Tu va quant même pas me faire un scène pars-que je tes bousculé ! Quoi ? Ta pas l'habitude d’être contrarié... Pfff pauvre petit. Dit-je d'un ton mauvais.

Ma queue ce balançait nerveusement au dessus ma tête, comme celle d'un chat prêt à frapper.
Mes prunelles c'étaient étrécit. Si il croyais que j'allais lui lécher les pattes en excuses, il pouvait retourner ce brosser. Ce n'était qu'un simple accident et ce crétin en faisait tout un blâme.
Néanmoins tout mes muscles étaient tendus. Certain chien n’hésite pas a attaquer une femelle. Et au font de moi je souhaitait qu'il le fasse, une bonne bagarre me retirait toutes ces pensé écrasante. J'était prête a rendre coup pour coup. Ce matcho risquait d’être surpris si il si risquait. Je n'était pas une femelle ordinaire.