Intrus ? [libre]

Invité

« Donc tu dégages. »
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Dick & Unknow
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Je ne t'aime pas, tu ne m'aimes pas, nous ne nous aimons pas. Il n'y a pas honte à ça. Seulement, si tu as le malheur de me croiser un jour, fuis. Car je ne te ferais pas de cadeaux. Et si je venais à mourir avant toi, j'aurais ma relève.
Alors vas-y. Tue moi si tu veux. Signe ton pacte avec la mort. Fabrique toi ta propre menace.

Le Husky secoue la tête. Il a horreur de ça. Horreur de devoir vivre encore et encore ce cauchemar. Ces paroles ? Celles de sa mère, qui les a crachées au loup qui l'a tuée. Sa respiration est sifflante. Il haït cette sensation. Il calme son coeur, qui tape comme un forcené dans sa poitrine et se lèche le thorax. Il contemple la longue cicatrice qui y cours, las et résigné. Il avait mal, la nuit, lorsque ces cauchemars revenaient. Il se lève, sors de la cavité qu'il a trouvé pour la nuit. Certains avaient prit l'habitude de se déplacer en bandes, et il ne voulait pas être surpris par une de ses patrouilles de fortunes, qui n'avaient que faire de savoir si il fallait ou non lui laisser la vie sauve.

Il se dégote un rat. De toutes façons, il ne peut manger que ça pour le moment [Fufu, tu obliges mon Dick à bouffer du rat. J'espère que tu es fières de toi uwu]. Il déteste ce goût là. Gerbant à souhait, puant la vermine. Le jour n'est pas levé. Il retourne à la Tanière Ensommeillée, seul endroit où il supporte un tant soi peu les autres. Le chemin est assez long pour y aller. Une bonne heure en trottant, minimum. Il s'en est éloigné l'autre jour, il est partit au coeur du souterrain. Pourquoi ? Pour échapper aux autres. Pour ne pas sauter à la gorge du premier venu.

Il gagne enfin le lieu qu'il cherchait. Il s'asseoit à l'entrée et observe la masse endormie. Il ne peut s'empêcher de songer que si l'un d'eux le voulait, une guerre terrible éclaterait entre eux. Un jeune chiot, un autre huksy, lève la tête en le voyant passer. Dick se tourne vers lui, et le pousse vers sa mère, lorsqu'il tentait de le suivre. Il lui dit non de la tête et le chien retourne se coucher, un peu dubitatif.

Il se rend au bout de la tanière, grimpe sur un rocher, puis un deuxième, jusqu'à la petite grotte où il dort. Il est le seul qui ai eu l'idée de s'y rendre, l'endroit est maintenant à lui, imprégné de son odeur.
Enfin. Presque.

Ses sens sont assaillit, par l'odeur d'un autre canin. Le Husky bande ses muscles et commence à grogner, sourdement, juste assez pour que l'intrus ne l'entende.

"Qui que tu sois. Fous le camps."

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édit 22/03/2013 > points déjà comptés

Invité

Je suis fatiguée, trop fatiguée. Mes muscles semblent ne plus vouloir supporter le rythme que je leurs impose. Pourtant je ressent encore l'envie d’avancer, mon âme n'est toujours pas apaisée. Je ressent toujours ce vide, cet immense vide.
Sans réellement m'en rendre compte, je venais d’atteindre la tanière ensommeillée. Je le sut car l'odeur putride de tout les canidés ici présent, venais de m prendre le nez.
Je faillis faire demis tours. Mais pour aller où ? Les galeries était bien plus dangereuse que tout le reste, surtout pour une femelle, même si je savait parfaitement me défendre.

J’esquivai avec facilité les corps agglutiné au sol, serré les un contre les autres. Ils ne ce connaissent pas, mais ils dorment ensemble, collé les uns contre les autres. Voila bien une chose que je ne comprendrais jamais et surtout que je serrais simplement incapable de faire.

Soudain, comme si ont me lavait littéralement proposé, mes yeux ce posèrent sur une cavité un peut surélevé. Sans réellement y réfléchir mes pattes sautèrent les trois pierres qui m'en séparait. Une forte odeurs de mâle en émanait. Mais elle ne datais pas es dernières 24h. Puis franchement, j'en avait que faire, cet endroit était idéale. Je pourrait dormir tout mon soul, sans devoir me crisper par un impertinent qui voudrais ce coller à moi.

Je rejoignis le font de la cavité, tournas deux fois sur moi même et m'écroula au sol en poussent un énorme soupire. J'avait a peine fermée les yeux, sombrent au bonheurs qu'une voie glaciale me surpris.

"Qui que tu sois. Fous le camps."

Je me décrochât la mâchoire en un bâillement indigne d'une présentation.
Puis enfin posa mes yeux ombre sur l'husky qui venais de faire son entré. Ses yeux bleu était menassent, mais je ne peina pas à les soutenir. Je lui accordât un petit sourire amusé, mais certainement bien lasse.

- C'est si bien demandé que je vais m'empresser de ne pas obtempérer.

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Invité

« Donc tu dégages. »
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Dick & Unknow
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L’odeur de la femelle l’écœurait. De quel droit se permet-elle de venir ainsi dans SA grotte ? Il avait prit la peine d’y venir assez régulièrement pour que son odeur y reste et éloigne tout intrus de son antre. Il était chez lui, et ne tolérait pas de présence autre que la sienne, si il ne l’avait pas invité.
Et le fait de voir cette chienne bailler ostensiblement vers lui l’énervait encore plus.

« C'est si bien demandé que je vais m'empresser de ne pas obtempérer. »

Un rictus méprisant apparaît sur les lèvres du Husky. Si il n’avait pas appris, tout petit, à respecter les autres, en particulier les femelles, il l’aurait déjà attrapé par la peau du cou pour la jeter dehors.

« Je crois que tu n’as pas compris. »

Il émit un grondement sourd, les babines légèrement retroussées. Elle n’allait certainement pas rester dans sa grotte pour la nuit.

« C’est chez moi. Et t’es pas invitée. »

Si, encore, il avait dit « bien sur, entre, fais comme chez toi ! Où veux-tu dormir ? Soyons amis ! », elle aurait bien pu rester. Mais vu qu’il ne lui avait rien dit de tel, elle n’avait aucun droit dans cette cavité. C’était la sienne, à lui et lui seul.

« Donc, tu dégages. Et tout de suite. »

Il lui laissait quelques instants pour partir. Mais très certainement pas toute la nuit. Elle avait tout le reste de la tanière, pourquoi avait-elle choisi cet endroit ? Dick y venait exprès pour ne voir personne. Pour ne pas avoir la fourrure des autres collée à la sienne, pour ne pas entendre les souffles mêlés de tous les canidés, pour ne pas dormir aux côtés de certains loups qu’il n’aimait pas. Terrain neutre, peut-être, mais source de tensions entre chacun par moments.

Il fit un pas de plus vers le fond de la grotte et, sans sommation, envoya un coup de patte non violent dans le flanc de la blanche.

« Premier et dernier avertissement. Dégage. »

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Fondatrice

» Routine ♣ Libre.
» Nuit écrasante. [libre]